Le public est invité à circuler dans l’installation et à l’habiter, dans un jeu poétique vagabond où le chemin choisi ne mène pas toujours à la destination désirée, à la libération incarnée par l’autre bout de la traversée.
Une ode à la ségrégation et un appel à sa mort.
Telle est l’idée phare de l’installation Corail des corps à la dérive de l’artiste angolais Kiluanji Kia Henda, dans le cadre de la BoCA – Biennale d’arts contemporains.
Il s’agit d’une gigantesque clôture métallique formant un labyrinthe habitable à grande échelle, comportant des grilles aux motifs distincts, allusion directe à l’architecture urbaine et à ce qu’on appelle la « géométrie de la peur ».
Le public est invité à circuler dans l’installation et à l’habiter, dans un jeu poétique vagabond où le chemin choisi ne mène pas toujours à la destination désirée, à la libération incarnée par l’autre bout de la traversée.
Du 4 octobre au 3 novembre
trois performances : 17:00-17:45 (le 5 octobre), 16:00-16:45 (les 12 et 19 octobre)
MAAT – Museu de Arte, Arquitetura e Tecnologia, Av. Brasília, Central Tejo
(train) ligne de Cascais, gare de Belém
(bus) 728, 714, 727, 729, 751
(tramways) 12E et 28E
entrée libre
maat.pt